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Humanité Reine
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DROITS HUMANISTES
VACCINER: PROJETS EUGÉNIQUES DES ROYAUTÉS
‘’Il a eu 4 000 morts l’an dernier au Canada de la simple grippe, mais pourquoi pensez-vous que les Médias n’en n'ont pas fait un plat??? C’EST POUR NE PAS AVOIR DU À AVOUER QUE LA MAJORITÉ DE CES PERSONNES DÉCÉDÉES AVAIENT ÉTÉ POURTANT BIEN VACCINÉES !!!
VACCINER : C’EST POLLUER
...
* La VARIOLE * Le TYPHUS * Le CHOLÉRA… Pour enrayer ces maladies il n’a fallu que d’installer des caniveaux et des égouts, d’améliorer les pavages des rues et leur nettoyage, … et d’assurer assez d’argent à tous pour qu’ils puissent se permettre les nécessités. Le CHOLÉRA provenaient des bactéries de la putréfaction animale dans l’eau de l’alimentation. La PESTE en Angleterre n’en était pas une, il s’agissait de SUETTE, et c’était dû au manque d’hygiène de vie et d’alimentation des Anglais. Les Anglais à cette époque était considéré comme des gens malpropres qui ne se lavaient jamais et faisaient des orgies alimentaires de viandes (souvent insalubres). La variole est présentée comme extrêmement contagieuse, alors que ce n’est pas le cas. L’OMS déclare qu’il n’y a jamais eu d’épidémie foudroyante, la variole n’a pas été éradiquée par la vaccination mais par l’isolement des malades. La lèpre et d’autres maladies ont disparu sans vaccin.
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Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l’efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L’aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d’Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d’après-guerre.
L’opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m’oblige à écrire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.
En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !
En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).
En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.
En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagnent d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi-totale.
Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l’Espagne en 1964, de l’Allemagne en 1939).
La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y eut de campagne importante de vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).
La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.
En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.
Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année.
Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.
Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.
Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d’euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.
Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.
A l’achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l’affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu’ils considèrent qu’il n’y a pas de lien.
C’est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d’autres personnes que l’on retrouve sur les innombrables sites d’information sur la vaccination. (8)
Un témoignage parmi d’autres, recueilli par l’EFVV (European forum for vaccine vigilance) :
Cela permettrait très rapidement d’établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l’enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu’injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l’organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n’ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n’est absolument pas envisagé aujourd’hui par les autorités sanitaires.
BLOGUE EN DÉVELOPPEMENTS
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VACCINER: PROJETS EUGÉNIQUES DES ROYAUTÉS
‘’Il a eu 4 000 morts l’an dernier au Canada de la simple grippe, mais pourquoi pensez-vous que les Médias n’en n'ont pas fait un plat??? C’EST POUR NE PAS AVOIR DU À AVOUER QUE LA MAJORITÉ DE CES PERSONNES DÉCÉDÉES AVAIENT ÉTÉ POURTANT BIEN VACCINÉES !!!
VACCINER : C’EST POLLUER
...
En
1943 et 1944, les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille
produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles
armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre
l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes
villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des
Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.
FAUT-IL EMPOISONNER LES MALADES?
Autrefois (et encore aujourd’hui) ON UTILISAIT LA MALADIE POUR EXTERMINER, on empoisonnait les cours d'eau des pauvres pour les éliminer, on ..... L’apparition de grandes épidémies n’est pas étrangère à la nature insalubre des Villes d’autrefois.
* La VARIOLE * Le TYPHUS * Le CHOLÉRA… Pour enrayer ces maladies il n’a fallu que d’installer des caniveaux et des égouts, d’améliorer les pavages des rues et leur nettoyage, … et d’assurer assez d’argent à tous pour qu’ils puissent se permettre les nécessités. Le CHOLÉRA provenaient des bactéries de la putréfaction animale dans l’eau de l’alimentation. La PESTE en Angleterre n’en était pas une, il s’agissait de SUETTE, et c’était dû au manque d’hygiène de vie et d’alimentation des Anglais. Les Anglais à cette époque était considéré comme des gens malpropres qui ne se lavaient jamais et faisaient des orgies alimentaires de viandes (souvent insalubres). La variole est présentée comme extrêmement contagieuse, alors que ce n’est pas le cas. L’OMS déclare qu’il n’y a jamais eu d’épidémie foudroyante, la variole n’a pas été éradiquée par la vaccination mais par l’isolement des malades. La lèpre et d’autres maladies ont disparu sans vaccin.
Le Danger des vaccins petite enfance - VACCINATIONS ET LEUCÉMIES
Le redoutable vaccin anti-grippe
La campagne 2008 de vaccination anti-grippe va
démarrer dans quelques jours selon les informations livrées, hier soir,
par la télévision, TF1 en l’occurrence.
Il est bon, de ce fait, de prendre connaissance, et de façon urgente, de cette analyse du docteur Marie-Hélène Groussace. A son propos, on m’a reproché de ne passer que des informations de ce médecin. Je veux donc faire une courte mise au point :
Premièrement : J’ai totalement confiance en cette femme courageuse qui n’hésite pas à mettre sa vie en jeu pour nous prévenir des dangers graves que nous courrons ;
Deuxièmement : Tout le monde peut (...)
Il est bon, de ce fait, de prendre connaissance, et de façon urgente, de cette analyse du docteur Marie-Hélène Groussace. A son propos, on m’a reproché de ne passer que des informations de ce médecin. Je veux donc faire une courte mise au point :
Premièrement : J’ai totalement confiance en cette femme courageuse qui n’hésite pas à mettre sa vie en jeu pour nous prévenir des dangers graves que nous courrons ;
Deuxièmement : Tout le monde peut (...)
Nos amis les retraités en danger de dégénérescence
L’ouverture hier (13 novembre 2006) à
Stockholm de la cérémonie des Prix Nobel a vu le prix de Médecine
attribué à deux chercheurs américains, Andrew Fire et Craig C. Mello,
pour leur découverte des mécanismes biologiques contrôlant les flux
d’informations génétiques. Leurs travaux originaux portaient sur l’étude
des ARN interférence double brin chez le nématode Caenorhabditis
elegans.
Le prix Nobel de Médecine et
Physiologie 2006, sur l’ARN interférence, explique comment une
régulation du noyau et donc des gènes des cellules, est exercée par des
ARN double brin. Ces doubles ARN bloquent sur la chaîne d’ADN certains
gènes.
Le vaccin anti-grippe est constitué de
fragments d’ARN double brin, il bloque donc certains gènes. Ce dernier,
injecté à des personnes âgées, dont les gènes des cellules se
ralentissent ou diminuent leur production, va donc bloquer certains
gènes déjà déficients,comme exposé par le prix Nobel.
Il en résulte un fonctionnement
anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones ! D’où la
floraison actuelle grandissante des cas d’Alzheimer qui grèvent le
budget et la vie des citoyens et qu’on tend à nous faire croire
inéluctable et pourvoyeuse d’emplois !
mais la médecine aveugle va vous traîner en COurs si
vous affirmez que simplement 4 à 6 fruits par jour peuvent venir
à bout de bien des cancers ????
STÉRILISER MÊME LES ENFANTS À COUPS DE VACCINS, ET TUER LES LEUCÉMIQUES À COUPS DE CHIMIO ?????
On peut sauver la plupart des enfants LEUCÉMIQUESmais la médecine aveugle va vous traîner en COurs si
vous affirmez que simplement 4 à 6 fruits par jour peuvent venir
à bout de bien des cancers ????
Faire à gogo du vaccin anti-grippe est aussi grave que le vaccin hépatite B.
Le faire chez le nourrisson comme c’est programmé (élections
présidentielles obligent !) va entraîner, c’est prévisible, des maladies
par arrêt de fonctionnement de certains types cellulaires mais surtout
va retentir sur les neurones, complétant le programme de dégénérescence de la population entamé par le vaccin hépatite B !
Dr M-H Groussac – Recherches en Biologie Moléculaire
Dc Christian Velot Maître de conférence – Génie Génétique
Professeur Herzog – Cancérologie
Et bien d’autres chercheurs et scientifiques de haut niveau.
Dc Christian Velot Maître de conférence – Génie Génétique
Professeur Herzog – Cancérologie
Et bien d’autres chercheurs et scientifiques de haut niveau.
Document transmis par
le Dc Groussac le 12/11/06 à Mr Tomana Hibakusha « irradié pour la
France » et publié sur son site lescobayesdelarépublique.fr le 14/11/06
Précisions sur les vaccins anti-grippe : en 2005, 11 vaccins étaient utilisés.
7 comportent des doubles ARN : Fluarix, Immugrip, Mutagrip, Prévigrip, Vaxigrip (1+2)
N’en comportent pas : Agrippal, Fluvirine, Gripguard, Influvac, MHG
7 comportent des doubles ARN : Fluarix, Immugrip, Mutagrip, Prévigrip, Vaxigrip (1+2)
N’en comportent pas : Agrippal, Fluvirine, Gripguard, Influvac, MHG
L’Hydroxyde d’Aluminium
L’Hydroxide d’Aluminium est un
adjuvant des vaccins destiné à stimuler la réponse immunitaire.
L’Aluminium est présent dans 25 vaccins couramment utilisés en France,
dont les vaccins diphtérie, tétanos, polio, ainsi qu’hépatite A et B
(650 à 1250 mg par dose, alors que les normes européennes fixent son
seuil à 15 mg par litre (sachant qu’au-delà il y a toxicité et risques
d’effets secondaires graves). Source : www.e-monsite.com/aluminiumetvaccins
Chers Amis
J’ai 75 ans, je ne me suis jamais
faite vacciner, je suis toujours vivante, lorsque je vois des amis, tous les ans vaccinés, avec grippe
bronchites graves, aprés avoir pris
connaissance de vos articles, je
comprends tout,
« Ce ne sont pas
les prions qui sont à l’origine de la maladie de la Vache Folle. Cette
épidémie n’en est pas une... Elle n’est liée à aucune contamination ni
CONTAGION, comme le démontre son extension aveugle et incohérente. Elle
n’est que la résultante d’un empoisonnement massif par l’ALUMINIUM. » (Alain SCOHY, docteur en médecine)
Il y a
trois ou quatre ans, je croyais encore en la valeur et en l’importance
primordiale de la vaccination. Je croyais que par ce moyen on nous
sauvait ou on nous protégeait de nombreuses et souvent mortelles
maladies… J’étais loin d’imaginer qu’en fait, depuis plus de soixante ou
soixante-dix ans on nous empoisonnait sciemment, en toute connaissance
de cause !
Les gens de ma génération étaient
élevés dans le respect, pour ne pas dire l’admiration des élites et en
particulier de tous les membres de la grande famille médicale. A
l’école, on nous parlait dans des termes tellement élogieux de Louis
Pasteur, qu’il nous apparaissait tel un géant d’humanisme et de bonté…
Ces deux statues, une partie du monde médical comme Pasteur, sont
totalement déboulonnées pour ce qui me concerne.
Voilà ce qu’en dit Alain Scohy et il n’est pas le seul, parlant des vaccins qui nous empoisonnent :
« En fait, tout remonte à la vieille imposture des vaccinations ! Louis Pasteur savait bien qu’il trompait son monde, à l’époque, et que ses soupes de purulence n’avaient pas la moindre efficacité sans l’adjonction d’un poison. A l’heure actuelle, les fabricants de vaccins reconnaissent enfin la présence dans leur seringue de ce poison, baptisé pudiquement : adjuvant de l’immunité. »
« En fait, tout remonte à la vieille imposture des vaccinations ! Louis Pasteur savait bien qu’il trompait son monde, à l’époque, et que ses soupes de purulence n’avaient pas la moindre efficacité sans l’adjonction d’un poison. A l’heure actuelle, les fabricants de vaccins reconnaissent enfin la présence dans leur seringue de ce poison, baptisé pudiquement : adjuvant de l’immunité. »
Nous avons vu, dans le premier article (Voir : Ces vaccins qui nous veulent du mal… ( 1 ))
l’empoisonnement par le mercure contenu dans certains vaccins. Comme
vous allez le voir, l’empoisonnement par l’aluminium n’a rien à envier
au mercure… Ecoutons encore le docteur Scohy :
« Nous sommes tous menacés : animaux, humains... Nous autres humains sommes déjà touchés, mais nous baptisons nos troubles : maladie de Alzheimer, démence, chorée, autisme ; (…)
« Nous sommes tous menacés : animaux, humains... Nous autres humains sommes déjà touchés, mais nous baptisons nos troubles : maladie de Alzheimer, démence, chorée, autisme ; (…)
Aujourd’hui, la plaisanterie a assez duré ! Il faut cesser l’empoisonnement par l’aluminium ! Il faut interdire TOUS les vaccins, TOUT DE SUITE, aux animaux comme aux humains.
Chaque seringue
renferme plus de vingt fois la dose toxique d’ALUMINIUM ! Il faut
interdire l’utilisation des sels d’aluminium pour clarifier l’eau du
robinet. Il faut interdire la vente de tous les ustensiles en aluminium.
Il faut interdire l’usage de l’aluminium pour le nettoyage du sang des
dialysés. Il faut interdire l’aluminium dans les traitements des
brûlures d’estomac.
Jusqu’à quand les
Pouvoirs Publics, les divers Ordres et les Institutions Internationales
comme l’OMS vont-ils taire l’évidence ? Jusqu’à quand feront-ils
massacrer inutilement des troupeaux entiers, avant de s’en prendre
ensuite aux humains ? S’arrêteront-ils lorsque les humains seront mis en
cause ?
Cela
fait pourtant des années que d’authentiques chercheurs ont pu démontrer
la responsabilité de l’aluminium dans ces lésions du système nerveux
central ! Des lésions anatomopathologiques qui sont identiques à ce que l’on observe dans la maladie de la Vache Folle ! »
Les dégâts sont importants et reconnus par nombre de scientifiques. Ainsi Alain Scohy précise :
« La présence de ce poison violent à l’intérieur des seringues de vaccins est sans aucun doute la seule cause de l’efficacité apparente des vaccins. Mais elle est surtout - de toute évidence - la principale cause des encéphalites spongiformes et de toutes les pathologies apparentées : maladie de la vache folle, (tous les animaux d’élevage sont vaccinés et donc très largement empoisonnés) maladie de Kreutzfeld Jacob, maladie d’Alzheimer, démences, chorée, autisme et combien d’autres encore méconnues. Jadis, l’efficacité de l’adjuvant - et donc des vaccins - n’était que provisoire, car les poisons finissaient un jour ou l’autre par être éliminés. Avec l’aluminium, plus de soucis : il est quasiment indéracinable une fois installé dans l’organisme ! » (source de l’article du docteur Alain Scohy : www.amessi.org )
« La présence de ce poison violent à l’intérieur des seringues de vaccins est sans aucun doute la seule cause de l’efficacité apparente des vaccins. Mais elle est surtout - de toute évidence - la principale cause des encéphalites spongiformes et de toutes les pathologies apparentées : maladie de la vache folle, (tous les animaux d’élevage sont vaccinés et donc très largement empoisonnés) maladie de Kreutzfeld Jacob, maladie d’Alzheimer, démences, chorée, autisme et combien d’autres encore méconnues. Jadis, l’efficacité de l’adjuvant - et donc des vaccins - n’était que provisoire, car les poisons finissaient un jour ou l’autre par être éliminés. Avec l’aluminium, plus de soucis : il est quasiment indéracinable une fois installé dans l’organisme ! » (source de l’article du docteur Alain Scohy : www.amessi.org )
De l’aluminiumartout !
« … la plupart des experts ont acquis la conviction que l’épidémie d’encéphalopathie, une forme progressive de démence caractérisée par tremblements, convulsions, psychose et autres changements cognitifs -parole et comportement-, qui, dans les années 70, a décimé les insuffisants rénaux, avait pour origine la forte teneur en aluminium de l’eau de dialyse et des médicaments. »Quelques pathologies liées à l’aluminium…
« La maladie
d’Alzheimer est l’une des plus fréquentes démences dégénératives
primaires dans le monde développé et une cause prépondérante de décès.
En France, 150 à 300 000 personnes de plus de 65 ans souffrent de la
maladie d’Alzheimer et les sujets atteints sont de plus en plus jeunes. Les cellules du cerveau des patients atteints d’Alzheimer contiennent de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale. »
« Les foyers de
nécrose observés dans la maladie d’Alzheimer et imputables à des taux
élevés d’aluminium dans certaines régions du cerveau, présentent des
analogies flagrantes avec ceux de diverses pathologies neurocérébrales
comme :
la myofasciite à macrophages, pathologie d’émergence récente
la maladie de Parkinson
la maladie de Lou Gehrig (sclérose latérale amyotrophique ou SLA)
la maladie de Parkinson
la maladie de Lou Gehrig (sclérose latérale amyotrophique ou SLA)
Si la lente intoxication à l’aluminium conduit donc à des troubles nerveux paralysants, à des troubles de mémoire, à l’épilepsie, on a également déjà démontré sa responsabilité dans le psoriasis, et les insuffisances hépato-rénales chroniques, l’anémie, l’ostéomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose, et les arrêts cardiaques chez les humains.. »
Les vaccins comme de nombreux
médicaments sont censés nous guérir ou nous protéger de nombreuses
maladies. Mais, comme nous venons de le voir, de nombreux scientifiques
ont démontré que l’aluminium est un danger parfois mortel. Donc, nous
pourrions penser que cet adjuvant a été éliminé de la médecine.. Eh bien
non ! Pour preuve, la liste suivante :
L’expérience du Québec
« Au
Québec, la majorité de la population âgée de 2 à 20 ans - l,7 millions
d’individus - fut vaccinée contre la méningite de type C avec le
Menjugate (MC). Ce nouveau vaccin contient, entre autres, de
l’aluminium. Depuis l936, on dénombre plus d’un million de références
scientifiques reconnaissant la toxicité de l’aluminium. Pourtant on
continue tout de même de l’incorporer dans les vaccins. »
Pas fous, les responsables de l’empoisonnement…
« Jack Doubleday,
président de "Natural Woman/Natural Man Inc " a offert il y a quelques
mois, 20,000$US à quiconque, médecin ou représentant de compagnie
pharmaceutique, osera boire publiquement une mixture des ingrédients que
l’on retrouve dans les vaccins. Afin d’en prouver l’innocuité, le drink
se composera de thimerosol (dérivé mercuriel) de formaldehyde, de
benzethonium chloride, de phenol, d’ethynol et d’aluminium. Le tout
devra être préparé par trois médecins choisis par Doubleday et par trois
autres désignés par le participant. Jusqu’à présent, personne n’a répondu à l’appel pour déguster ce pétillant cocktail de produits chimiques et de métaux lourds. »
L’illusion de l’efficacité des vaccins
« La fabrication des
premiers vaccins date de presqu’un siècle, une époque où la complexité
du système immunitaire était inconnu. Toute la théorie vaccinale est
basée sur la production d’anticorps. Mais le fait qu’un vaccin produise
des anticorps ne prouve nullement son efficacité. Dans de nombreux cas, des vaccins ont produit des anticorps mais les vaccinés ont tout de même contracté la maladie.
Par exemple, un important groupe de soldats en Australie fut vaccinés
dans les années 70 contre la rubéole. Tous produisirent des anticorps,
pourtant plus de 80% des vaccinés eurent la maladie (cité dans
Australian Journal of Medical Technology par le virologiste B. Allan ) .
L’immunité ne se résume donc pas à une production forcée d’anticorps.
Ces cocktails de
virus, de produits chimiques et de métaux lourds injectés pour stimuler
artificiellement l’immunité font partie d’une vision de la santé et des
maladies devenue obsolète. D’innombrables études
scientifiques de spécialistes en allergie, en immunologie, en neurologie
démontrent sans équivoque que les substances des vaccins affaiblissent
le système immunitaire et provoquent des effets secondaires
imprévisibles. Il n’est peut-être pas étonnant de constater que
les enfants ayant le système immunitaire bombardé dès la naissance par
des dizaines de vaccins fabriqués avec des substances toxiques
contractent à l’adolescence des maladies virulentes comme la méningite.
Et que les allergies, l’asthme, le diabète, l’autisme et les troubles de
comportement les assaillent de plus en plus.
En 1950, avant les
vaccinations massives, les États-Unis étaient en troisième position
mondiale concernant la mortalité infantile. En 2001, le pays a reculé
jusqu’en 24e position. Et ce, même si les enfants américains sont les
plus vaccinés du monde et que les États-Unis est le plus grand
utilisateur d’animaux de laboratoire de la planète. En effet, pour nous
assurer l’efficacité des vaccins les fabricants les testent sur des
singes, des rats, des lapins et toute une panoplie d’animaux. Cette
pratique jugée indispensable pour garantir l’innocuité des vaccins
n’empêchent pas ces derniers d’être dangereux. Là encore, tout comme
dans d’autres domaines de la recherche utilisant des animaux, il
apparaît évident que l’organisme d’un rat diffère grandement de celui
d’un humain. Ces expériences barbares et archaïques sur les animaux ne
peuvent garantir en aucun cas la sécurité d’un vaccin destiné aux
humains. » Source : www.ass-ahimsa.net
Le vaccin contre la grippe (flu shot en anglais) est devenu une
marchandise aux États-Unis !
Il est disponible dans la majorité des magasins de proximité dans les
grandes villes américaines, vous pouvez acheter une dose de vaccin
contre la grippe avec votre barre chocolaté et votre bouteille de jus
d'orange. C'est devenu un "produit marchant", un produit comme un autre !
Un membre de l'équipe a séjourné aux États-Unis pendant quelques mois et
il nous livre des photographies d'affiches et de publicités pour
promouvoir le vaccin contre la grippe.
Voici ci-dessous des photographies d'affiches promotionnelles pour le
vaccin contre la grippe aux États-Unis :
[caption id="" align="aligncenter" width="564" caption="Affiche
promotionnelle pour le vaccin contre la grippe dans...
Le (...)
=============================================
...de vaccins par le virus de la grippe aviaire chez Baxter International
Des autorités (US) tentent de découvrir
comment la compagnie Baxter International Inc., qui fabrique des
vaccins, a pu produire du « matériel viral expérimental » basé sur une
souche de la grippe humaine mais contaminé par le virus H5N1 de la
grippe aviaire, qui a ensuite été envoyé à une entreprise autrichienne.
Par Helen Branswell
Des autorités (US) tentent de découvrir comment la compagnie Baxter International Inc., qui fabrique des vaccins, a pu produire du « matériel viral expérimental » basé sur une souche de la grippe humaine mais contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire, qui a ensuite été (...)
Par Helen Branswell
Des autorités (US) tentent de découvrir comment la compagnie Baxter International Inc., qui fabrique des vaccins, a pu produire du « matériel viral expérimental » basé sur une souche de la grippe humaine mais contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire, qui a ensuite été (...)
mardi 25 novembre 2008
Du poison à rat dans les ingrédients du vaccin anti-HPV
Par Joanne Waldron Qu’ont en commun un
raticide et le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) ? Réponse :
un produit chimique dangereux connu sous le nom de borate de sodium. Le
lecteur dégourdi a le droit de se demander ce que fabrique une toxine
servant d’habitude à tuer les rats dans la recette du vaccin contre le
HPV, actuellement conseillé aux fillettes dès l’âge de neuf, et même à
l’étude pour la gent masculine. Hélas, la réponse n’est guère
rassurante, en particulier pour les nouveaux résidents des États-Unis,
pour qui l’injection anti-HPV au borate de sodium est désormais
obligatoire.
Le (...)
Composition d’un certain nombre de vaccins... bonjour les poisons !
Reçu de l’Association Stelior
Voici une intéressante liste de divers poisons
que l’on trouve dans toutes sortes de vaccins… Comment s’étonner,
ensuite, qu’il y ait des accidents, des maladies plus ou moins graves,
des handicaps réellement lourds et, dans un certain nombre de cas, la
mort au bout de la vaccination…
Mais, motus et bouche cousue… le chiffre d’affaires et les rentes aux actionnaires avant tout… Ce qui est tragique, c’est que vous n’avez pas grande chance de trouver ces informations dans les grands médias, tous supports confondus, alors que la propagande en faveur des vaccins se trouve partout, elle.
Il faut lutter pour (...)
Mais, motus et bouche cousue… le chiffre d’affaires et les rentes aux actionnaires avant tout… Ce qui est tragique, c’est que vous n’avez pas grande chance de trouver ces informations dans les grands médias, tous supports confondus, alors que la propagande en faveur des vaccins se trouve partout, elle.
Il faut lutter pour (...)
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1.Liste des vaccins
2.Profils et définitions
2.Profils et définitions
Cette liste se veut représentative,
mais non exhaustive, des divers types de vaccins (les noms des vaccins
sont, pour la plupart, ceux utilisés aux Etats_Unis)
NOM | DESCRIPTION | FABRICANT | ELABORATION |
---|---|---|---|
Acte Hib | Combinaison de Haemophilus influenzae du Type B (Hib) et de tétanos | Laboratoires Connaught 1_800_822_2463 | produit en utilisant le sulfate d’ammonium, formaline, saccharose, thiomersal (dérivé mercuriel) : semi_synthétique |
Attenuvax | Vaccin de la rougeole | Merck & Co, Inc. 1_800_672_6372 | produit en utilisant de la néomycine, sorbitol, gélatine hydrolysée : embryon de poussin |
Biavax | Vaccin de la rubéole | Merck & Co.,Inc.1_800_672_6372 | produit en utilisant la néomycine, sorbitol, support hydrolysé de gélatine : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) |
DTP | Diphtérie, tétanos et vaccin Pertussis (coqueluche) | SmithKline Beecham Pharmaceuticals 1_800_366_8900 | produit en utilisant du phosphate d’aluminium, formaldéhyde, sulfate d’ammonium, globules rouges purifiés de mouton, glycérol, chlorure de sodium, support thiomersal : hydrolysat pancréatique porcin (porc) de caséine |
DTP Acel_Immunisé | Combinaison de diphtérie, tétanos et du vaccin acellulaire Pertussis (coqueluche) | Laboratoires Lederle 1_800_934_5556 | produit en utilisant le formaldéhyde, thiomersal, hydroxyde d’aluminium, phosphate d’aluminium, polysorbate 80, gélatine |
Energix_B | Hépatite B | SmithKline Beecham Pharmaceuticals 1_800_633_8900 | produit en utilisant l’hydroxyde d’aluminium, support thiomersal : levure (probablement un résidu de 5%) |
Fluvirin | Vaccin du virus de la grippe | Medeva Pharmaceuticals 1_888_medeva, (716)274_5300 | produit en utilisant du fluide embryonnaire (œuf de poulet), néomycine, polymyxin, thiomersal, betapropiolactone : fluide embryonnaire (oeuf de poulet) |
FluShield | Vaccin du virus de la grippe, Trivalent, Types A & B | Wyeth_Ayerst 1_800_934_5556 | produit en utilisant le sulfate de gentamicine, formaldéhyde, polysorbate 80, tri(n)butylphosphate, thiomersal : embryons de poussin |
Havrix | Hépatite A | SmithKline Beecham Pharmaceuticals 1_800_633_8900 | produit en utilisant la formaline, hydroxyde d’aluminium, phenoxyethanol, polysorbate 20, support résiduel des protéines MRC5 : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) |
HibTiter | Hemophilus influenzae Type B (Hib) | Laboratoires Lederle 1_800_934_5556 | produit en utilisant le polyribosylribitol, sulfate d’ammonium, support thiomersal : à base de levure |
Imovax | Vaccin de la rage | Laboratoires Connaught 1_800_822_2463 | produit en utilisant de l’albumine humaine, sulfate de néomycine, phénol : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) |
Vaccin de la rage | --- | SmithKline Beecham 1_800_366_8900 | produit en utilisant le betapropiolactone, phosphate d’aluminium, ethylmercurithiosalicylate de sodium (thiomersal), phénol : cellules fœtales de poumon de singe rhésus |
IPOL | Vaccin inactivé de la poliomyélite | Laboratoires Connaught 1_800_822_2463 | produit en utilisant 3 types de virus de poliomyélite, formaldéhyde, phenoxyethanol, néomycine, streptomycine, polymyxin B : cellules de VERO (cellules de rein de singe) |
Menomune | Vaccin méningococcique | Laboratoires Connaught 1_800_822_2463 | composants : thiomersal, lactose : antigènes polysaccharides lyophilisés de Neisseria Meningitidis |
Meruvax I Mumpsvax | Vaccin des oreillons | Merck & Co., Inc. 1_800_672_6372 | produit en utilisant la néomycine, sorbitol, support hydrolysé de gélatine : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) |
MMR (ROR) | Vaccin du virus de la rubéole, des oreillons et de la rougeole | Merck & Co., Inc. 1_800_672_6372 | produit en utilisant le sorbitol, néomycine, supports hydrolysés de gélatine : M & M (rubéole d’embryon de poussin), cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) |
M_R_Vax | Rougeole et rubéole | Merck & Co., Inc. 1_800_672_6372 | produit en utilisant la néomycine, sorbitol, supports hydrolysés de gélatine : M _ embryon de poussin R _ cellules diploïdes humaines (provenant du tissu fœtal humain d’avortements) |
Orimune | Vaccin polio oral, trivalent | Laboratoires Lederle 1_800_934_5556 | produit en utilisant 3 types de virus atténués de la poliomyélite, streptomycine, néomycine, sérum de veau, sorbitol : culture de cellules de rein de singe |
Pneumovax | Vaccin pneumocoque, polyvalent | Merck & Co., Inc. 1_800_672_6372 | produit en utilisant du phénol et des polysaccharides capsulaires à partir des 23 types de pneumocoques les plus répandus |
Recombivax | Vaccin hépatite B | Merck & Co., Inc. 1_800_672_6372 | produit en utilisant le thiomersal, support d’hydroxyde d’aluminium : levure (résidu < 1% protéine de levure) |
RotaShield | Rotavirus, activé, oral, quadrivalent | Laboratoires Wyeth_Ayerst 1_800_934_5556 | produit en utilisant 1 rotavirus de singe rhésus, 3 virus rhésus humains, saccharose, glutamate monosodique (MSG), monophosphate de potassium, diphosphate de potassium, sérum fœtal de boeuf , sulfate de néomycine, amphotéricine B : ligne de cellules diploïdes de rhésus fœtal |
Varivax | Vaccin de la varicelle | Merck & Co., Inc. 1_800_672_6372 |
PROFILS ET DÉFINITIONS CHIMIQUES
Sources : FED (Environmental Defense Fund) & MME (Mosby’s Medical Encyclopedia)
Aluminium :
Le FED a suspecté : toxicité cardiovasculaire ou sanguine, toxicité neurologique et respiratoire. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 2 systèmes sur 6 de classement sur au moins 2 listes de normalisation fédérales
Le FED a suspecté : toxicité cardiovasculaire ou sanguine, toxicité neurologique et respiratoire. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 2 systèmes sur 6 de classement sur au moins 2 listes de normalisation fédérales
Amphotéricine B :
définition du MME : drogue traitant les infections dues aux champignons. L’allergie connue à cette drogue interdit son utilisation. Les effets secondaires incluent des caillots de sang, dommages au sang, des problèmes rénaux, la nausée et la fièvre. Une fois utilisée sur la peau, des réactions allergiques peuvent se produire.
définition du MME : drogue traitant les infections dues aux champignons. L’allergie connue à cette drogue interdit son utilisation. Les effets secondaires incluent des caillots de sang, dommages au sang, des problèmes rénaux, la nausée et la fièvre. Une fois utilisée sur la peau, des réactions allergiques peuvent se produire.
Bêta*Propiolactone :
Le FED l’a reconnu carcinogène.
Le FED a suspecté : toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité respiratoire et sensorielle. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 3 systèmes sur 3 de classement, sur au moins 5 listes de normalisation fédérales. Classé comme un des composés les plus dangereux pour l’être humain
Le FED l’a reconnu carcinogène.
Le FED a suspecté : toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité respiratoire et sensorielle. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 3 systèmes sur 3 de classement, sur au moins 5 listes de normalisation fédérales. Classé comme un des composés les plus dangereux pour l’être humain
Formaldéhyde :
Le FED l’a reconnu carcinogène
Suspecté de toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité immunitaire, neurologique et du système reproducteur, toxicité respiratoire et sensorielle. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 5 systèmes sur 12 de classement sur au moins 8 listes de normalisation fédérales. Classé comme un des composés les plus dangereux pour l’écosystème et la santé humaine
Le FED l’a reconnu carcinogène
Suspecté de toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité immunitaire, neurologique et du système reproducteur, toxicité respiratoire et sensorielle. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 5 systèmes sur 12 de classement sur au moins 8 listes de normalisation fédérales. Classé comme un des composés les plus dangereux pour l’écosystème et la santé humaine
Glutamate monosodique :
Normalement utilisé comme renforçateur de goût dans une certaine variété d’aliments. Cependant, suite aux inquiétudes exprimées par l’académie américaine de pédiatrie, il a été retiré de tous les produits destinés aux enfants de moins d’une année. Des piqûres de glutamate chez les animaux de laboratoire ont eu comme conséquence des dommages aux cellules nerveuses du cerveau.
Normalement utilisé comme renforçateur de goût dans une certaine variété d’aliments. Cependant, suite aux inquiétudes exprimées par l’académie américaine de pédiatrie, il a été retiré de tous les produits destinés aux enfants de moins d’une année. Des piqûres de glutamate chez les animaux de laboratoire ont eu comme conséquence des dommages aux cellules nerveuses du cerveau.
Néomycine :
un antibiotique
un antibiotique
Phénol (acide carbolique) :
Le FED a suspecté : toxicité cardiovasculaire ou sanguine, toxicité du développement, toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité par contact avec la peau, toxicité rénale, neurologique, respiratoire et sensorielle. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 3 systèmes sur 10 de classement sur au moins 8 listes de normalisation fédérales
Le FED a suspecté : toxicité cardiovasculaire ou sanguine, toxicité du développement, toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité par contact avec la peau, toxicité rénale, neurologique, respiratoire et sensorielle. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 3 systèmes sur 10 de classement sur au moins 8 listes de normalisation fédérales
Phenoxyéthanol :
Le FED a suspecté : toxicité du développement, toxicité du système reproducteur. Moins dangereux que la plupart des produits chimiques dans 3 systèmes de classement.
Le FED a suspecté : toxicité du développement, toxicité du système reproducteur. Moins dangereux que la plupart des produits chimiques dans 3 systèmes de classement.
Polymyxin :
un antibiotique
un antibiotique
Polyribosylribitol :
un composant de la bactérie de Hib
un composant de la bactérie de Hib
Polysorbate :
Le FED a suspecté : toxicité par contact avec la peau ou les organes des sens
Le FED a suspecté : toxicité par contact avec la peau ou les organes des sens
Saccharose :
sucre raffiné
sucre raffiné
Sorbitol :
le FED a suspecté : toxicité gastro_intestinale ou hépatique. Moins dangereux que la plupart des produits chimiques dans 1 système de classement
le FED a suspecté : toxicité gastro_intestinale ou hépatique. Moins dangereux que la plupart des produits chimiques dans 1 système de classement
Streptomycine :
un antibiotique
un antibiotique
Sulfate d’ammonium :
Le FED l’a suspecté de : toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité neurologique et respiratoire
Le FED l’a suspecté de : toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité neurologique et respiratoire
Sulfate de gentamicine :
gélatine hydrolysée antibiotique : obtenu à partir des morceaux sélectionnés de peaux de veau et de bétail, d’os déminéralisés de bétail (osséine) et de peau de cochon
gélatine hydrolysée antibiotique : obtenu à partir des morceaux sélectionnés de peaux de veau et de bétail, d’os déminéralisés de bétail (osséine) et de peau de cochon
Thiomersal (dérivé mercuriel) :
Le FED a reconnu : toxicité du développement.
Le FED a suspecté : toxicité par contact avec la peau ou les organes des sens
Le FED a reconnu : toxicité du développement.
Le FED a suspecté : toxicité par contact avec la peau ou les organes des sens
Tri(n)butylphosphate :
le FED a suspecté : toxicité rénale et neurologique. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 2 systèmes sur 3 de classement, sur au moins 1 liste de normalisation fédérale
le FED a suspecté : toxicité rénale et neurologique. Plus dangereux que la plupart des produits chimiques dans 2 systèmes sur 3 de classement, sur au moins 1 liste de normalisation fédérale
Source : Association Stelior et NATURE & SANTÉ
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La vaccination massive contre l’hépatite B dans les années 90 a fait des
ravages au niveau santé en France et dans de nombreux pays. De nombreux
effets secondaires et de contre indication pour le vaccin de l'hépatite
b existent.
Ce vaccin n’y a pas déclenché que des scléroses en plaques comme on
l’entend dire de tous côtés, mais toutes sortes de graves maladies,
parfois mortelles, qu’elles soient hématologiques, rhumatismales et/ou
auto-immunes, et à tous les âges.
Or ce vaccin de l'hépatite B est toujours programmée pour les bébés et
pour les adolescents.
Hélas, la majorité des médecins et des spécialistes dans le domaine
médical acceptent toujours la vaccination, ignore que des enfants ont
été gravement atteints et n’ose pas prendre en...
Vaccin : ce que tout parent doit savoir
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l’efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L’aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d’Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d’après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu’auraient des vaccins.L’opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m’oblige à écrire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.
Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d’exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l’échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l’excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !
En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).
En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.
En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagnent d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi-totale.
Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l’Espagne en 1964, de l’Allemagne en 1939).
Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y eut de campagne importante de vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).
La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.
En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.
La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année.
Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.
Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.
Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s’est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d’autant plus lucrative qu’elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d’euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.
Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.
A l’achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
- la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d’euros,
- l’acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d’euros,
- l’achat d’antiviraux pour 20 millions d’euros,
- 150,6 millions d’euros de masques,
- 41,6 millions d’euros de dépenses logistiques,
- 290 millions afin d’indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
- 59,6 millions destinés aux frais d’information et à la campagne de communication,
- 100 millions de « frais liés à l’organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
- et encore 375 à 752 millions d’euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l’affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.
Pas de suivi des accidents liés aux vaccins
De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s’ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu’on vous expliquera qu’il s’agit d’une pure coïncidence, y compris s’il y a décès.Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu’ils considèrent qu’il n’y a pas de lien.
C’est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d’autres personnes que l’on retrouve sur les innombrables sites d’information sur la vaccination. (8)
Un témoignage parmi d’autres, recueilli par l’EFVV (European forum for vaccine vigilance) :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »Mais c’est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s’ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l’évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l’Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu’elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.
Cela permettrait très rapidement d’établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l’enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu’injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l’organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n’ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n’est absolument pas envisagé aujourd’hui par les autorités sanitaires.
Que faire ??
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